Synopsis : 

« Mélinda, une jeune femme parisienne, travaille et se meut dans une routine déconcertante. Soudain, elle apprend qu’avec son père elle a tué sa mère mais ne s’en souvient pas. . . Mélinda va alors mener une bancale enquête en quête de sens. Voilà un étrange premier roman, l’héroïne, nous fait d’abord un portrait cinglant – et malheureusement combien juste – du monde du travail. C’est ironique, drôle, cocasse et saugrenu. Elle va quitter ce travail, partir aux Antilles, y vivre d’autres expériences, entre rêve et réalité, normal et paranormal ».

 

Mon avis :

On m’a confié le premier ouvrage auto-édité de Marianne BP en espérant qu’il me plaise. Je ne savais pas à quoi m’attendre en commençant ce petit livre qui, dès la couverture m’a donné envie de passer outre mon aversion pour « la couleur des filles » : le rose.

Comme à une liane, je me suis accrochée à chaque jeux de mots, à chacune des énumérations, à chaque anglicismes, à chacune des expressions familières ou encore inconnues des lecteurs avec délectation. C’est avec vivacité et humour que cette nouvelle plume manie la langue française.

La nouveauté contenue dans ces pages peut dérouter mais elle devient vite une dépendance. Dans Rose ascendant Pourpre, les écueils de la vie ont un tout autre sens. Ce roman a tout d’un grand, ses vertus sont bénéfiques pour l’esprit et pour le moral, c’est un très bon début dans la jungle littéraire.

 

 

(Date de sortie : 7 juillet 2016. Éditeur : Lulu.com. 210 pages. 11,61€ / 0,99€).