Synopsis : 

« Tristan et Elisabeth sont voisins, ils n’ont rien en commun à part leur passé douloureux. Elle a choisi de continuer à vivre ne serait-ce que pour sa petite fille Emma. Il a choisi de s’extraire du monde. Mais Elisabeth ne l’entend pas de cette façon. Elle sait qu’ils sont tous les deux en miettes et qu’ensemble ils seront plus forts pour affronter leurs fantômes.

C’est sans compter avec toutes les embûches que les habitants de leur petite ville vont mettre sur leur route. Ensemble, ils sauront vaincre les idées reçues ».

 

Quelques mots sur l’auteure :

« La romancière a toujours aimé les mots, elle a fait des études de théâtre et de lettres. Elle aime participer à l’écriture de scénarios, jouer et danser. Elle pense que tout le monde devrait boire du thé, du café et du vin, bien sûr ! Elle habite dans le Wisconsin, à Milwaukee, avec sa famille, et quand elle n’est pas en train d’écrire, elle s’occupe de ses animaux ».

 

Mon avis :

J’aime beaucoup la couverture de cette ouvrage. La posture pleine de vulnérabilité du personnage principal, la présence de plumes autour du titre et le coeur de la collectionneuse d’attrapes rêves que je suis a fondu.

L’intrigue est simple. Tout tourne autour de la difficulté qu’ont Lizzie et Tris. à gérer la perte de leur famille. Ils sont dévastés, obnubilés par les souvenirs d’une vie qui a volé en éclats. Alors qu’ils s’y refusent le désespoir va les conduire à s’accrocher aux visages des disparus. Ils vont d’abord être guidés par le besoin de retrouver un peu de chaleur humaine avant de se rapprocher durablement.

Les commérages, la peur de ne plus se souvenirs des défunts ajoutés à l’instabilité émotionnelle des deux protagonistes ne facilitera pas leur poursuite du bonheur. Il faut bien l’écrire : certaines péripéties sont prévisibles.

L’écriture est fluide. L’écrivaine sait comment captiver l’attention de son lectorat. Elle fait en sorte d’alterner les points de vue. La présence d’une fillette apporte une note d’espoir à l’histoire ainsi que la possibilité d’une communication avec l’au-delà. Cet aspect m’a particulièrement plu.

Dans The air he breathes, il est question de pardon, d’amour. J’ai bien aimé cette lecture. Elle est étonnante. Je me demande d’ailleurs ce que réservent les tomes suivants d’autant que pour moi un seul aurait suffi.

 

 

(Date de sortie : 7 juillet 2016. Éditeur : Hugo Roman. Collection : New Romance. 360 pages. Prix du format imprimé : 17€. Prix du format numérique : 9,99€
Site internet de la maison d’éditions : http://www.hugoetcie.fr / Compte Facebook de l’éditeur : https://www.facebook.com/HugoNewRomance/?ref=ts&fref=ts).