Date de sortie : 19 septembre 2019

 

Editeur : XO

 

320 pages 

 

Site de la maison d’éditions : http://www.xoeditions.com 

 


 

 

Synopsis : 

 

« La vengeance est affaire de mémoire.

 

Le corps recouvert d'une étrange poudre blanche... 

Des extrémités gangrenées... 

Un visage figé dans un rictus de douleur... 

 

En observant le cadavre de son père, Sarah Geringën est saisie d'épouvante. Et quand le médecin légiste lui tend la clé retrouvée au fond de son estomac, l'effroi la paralyse. 

 

Et si son père n'était pas l'homme qu'il prétendait être ? 

 

Des forêts obscures de Norvège aux plaines glaciales de Sibérie, l'ex-inspectrice des forces spéciales s'apprête à affronter un secret de famille terrifiant. 

 

Que découvrira-t-elle dans ce vieux manoir perdu dans les bois ? Osera-t-elle se rendre jusqu'à l'île du Diable ? »

 

 

Mon avis : 

 

J’avais bien aimé « Le cri », j’avais beaucoup aimé « Complot » et j’ai adoré « L’île du diable » que j’ai lu en moins de 24h. Je trouve que le résumé au début du livre est une excellente idée. Il aide le lecteur à se remémorer les moments clef de l’histoire. Pour celles et ceux qui prennent le train en marche, je pense qu’il leur permettra de mieux cerner la psychologie des personnages. 

 

J’ai eu du plaisir à recroiser le couple phare de cette saga. J’ai aussi retrouvé les grandes qualités qui, font que Nicolas Beuglet est devenu un des auteurs incontournables du thriller français. Ainsi, on retrouve le dynamisme d’un homme qui a à coeur de proposer à ses lecteurs des enquêtes rondement menées directement inspirées par des faits réels, souvent ingnorés du grand public. Mon dragon dévoreur de livres est friand de détails scientifiques. Il aime aussi la sensation que lui procure les moments d’attente angoissée de ce qui va se produire dans les prochains chapitres. Cette montée en puissance qu’est « L’île du Diable » semble l’avoir momentanément, rassasié ! Tout ça pour dire, qu’ici à Nice, on attend dejà la suite ;).