Synopsis :


« CÉLINE, artiste, change de vie et part emménager dans un pays baigné par les contes et légendes.

Dans la cour de sa propriété, elle découvre un catalpa qui semble gardé par une louve apprivoisée.


Elle s’aperçoit que ses voisins s’intéressent de très prés à sa maison. Que peut-elle bien renfermer de si précieux ?


Une nuit, WAHYA, mystérieux Indien aux longs cheveux surgit et un attachement profond s’installe entre eux.



Quelques mots sur l’auteur(e) :
 
« Je n’ aurais jamais pu vivre en ville, j’ai toujours privilégié la qualité, c’est pourquoi je vis au pied de la montagne, en Auvergne, là où se situe mon roman. J’aime cette solitude. Je me promène avec mes chats sur les talons, dans des pays somptueux où chaque saison à sa cueillette…
 
Dans d’autres vies, tour à tour secrétaire médicale, accompagnatrice de tourisme équestre et aujourd’hui créatrice d’objets en bois recyclé peints à l’acrylique. Mais dans ma dernière, je partage l’écriture entre mon atelier de créations et l’éducation de mon dernier, petit Haïtien adopté il y a onze ans ».
 
La Lune cendrée, est le premier roman de BRUNE-EL. (Celine, a beaucoup de points communs avec la romancière. Elle travaille par exemple, dans le même secteur d’activité). La publication de son second roman est prévue pour la fin de l’année 2015.
 
 
Mon avis :
 
J’ai discuté avec l’écrivaine avant de commencer cette lecture. Lorsqu’elle m’a informé que la base de l’histoire reposait sur les légendes amérindiennes, je fus enchantée. Ma mère a toujours aimé ce peuple. Enfant, elle le défendait pendant les films de westerns. Pour ma part, j’ai toujours admirer sa parfaite symbiose avec la nature. Depuis toujours, mon idéal masculin a les cheveux noirs et longs. Ma décoration comporte plusieurs capteurs de rêves que j’emporte avec moi à chaque déménagement.
 
Je lis très peu de romances car elles sont trop souvent évidentes ou privées d’action et accès sur le sexe. Or, pour moi, le véritable amour est aussi fait de petits gestes d’attention, d’un soutien mutuel et d’une confiance absolue.
 
Les deux personnages de ce conte évoluent en dehors de la société de consommation qui pousse l’être humain à se servir de ses semblables pour obtenir ce qu’il souhaite. Pour le lecteur, les paysages fleuris de l’Auvergne sont source de dépaysement. Ils se prêtent parfaitement à l’apprentissage d’une autre culture et à l’épanouissement du sentiment amoureux qui, lorsqu’il est sincère est aussi pur que l’éclat d’un diamant.
 
Ce livre m’a donné envie d’en apprendre encore plus sur les coutumes et le mode de vie des indiens d’Amérique alors on se retrouve bientôt pour des avis historiques. En attendant, un seul conseil : achetez le !