Synopsis :

« Amour et châtiment dans l’Angleterre victorienne…

Londres, 1886. Après avoir reçu une lettre de menace, sir Edward Grey s’effondre et meurt en la présence de son épouse, Lady Julia, et d’une assemblée de convives.

Quelques temps plus tard, Nicholas Brisbane, détective privé au charme animal, rend visite à Lady Julia et lui laisse entendre que son mari aurait été assassiné.

Déterminés à démasquer le coupable, tous deux s’engagent dans une quête de la vérité qui se révélera aussi surprenante que dangereuse ».

 

Quelques mots sur l’auteure :

Deanna Raybourn est née le 17 juin 1968 au Texas. C’est au lycée qu’elle rencontre l’amour de sa vie. Il deviendra très vite son époux. Elle a été enseignante pendant trois ans mais à finalement décidé de se consacrer à sa famille ainsi qu’à l’écriture. Sa série Lady Julia fait d’elle une écrivaine reconnue.

 

Mon avis :

Ce livre m’a été conseillé par une membre de ma page littéraire qui voulait absolument le découvrir. Comme elle, j’étais impatiente de retrouver cette période historique si chère à mon coeur. J’ai apprécié les citations et les références des ouvrages classiques en début de chapitre et à l’intérieur du récit.

Mais mon enthousiasme n’a pas suffit à masquer les défauts que j’ai trouvé à cette oeuvre. Les cinq premiers chapitres de présentation de l’héroïne, du contexte de l’intrigue m’ont semblé interminables.

Le décès tragique de son mari perturbe cette jeune femme docile. De ce fait, elle se pose de nombreuses questions qui, aussi étrange que cela puisse paraitre n’ont souvent pas grand chose à voir avec les préoccupations d’une veuve.

J’ai été soulagée que la romance ne soit pas le sujet central de l’histoire même si je pense que Julia a évolué grâce à cette enquête et peut-être aussi grâce aux sentiments plutôt confus qu’elle éprouve pour son coéquipier.

Mon bilan concernant Le silence de Grey House est mitigé. J’ai cru comprendre qu’un seul tome était sorti en français contre six aux états-unis, mon avis n’est donc pas définitif.